Chaquedimanche Laetitia de Germon nous fait découvrir un manga "feel good", léger, et qui met de bonne humeur. SeptiÚme épisode : "Blue Period", de Tsubasa Yamaguchi.
TEMOIGNAGE RMC - Les toxicomanes et dealers de crack continuent de pourrir la vie de nombreux habitants du nord-Est de Paris. Pierre en fait partie et tĂ©moigne d'une situation qui empire chaque crack continue de faire de ravages, et gangrĂšne des quartiers entiers partout dans le monde. C'est toujours le cas du Nord-Est de Paris qui n'a toujours pas trouvĂ© de solution Ă  ce sempiternel sĂ©curiser le malfamĂ© quartier de "Stalincrack" prĂšs de le station de mĂ©tro Stalingrad, la maire de la Paris, Anne Hidalgo, a proposĂ© plusieurs sites mĂȘlant soin, hĂ©bergement et espaces de consommation pour les toxicomanes dans un courrier adressĂ© lundi au Premier ministre Jean riverain du jardin d'Eole n'est pas convaincu, et a partagĂ© sa colĂšre et son exaspĂ©ration ce mardi sur RMC dans Apolline Matin.>>> A LIRE AUSSI - "Ce n'est pas Ă  nous de bouger" les riverains de plus en plus tendus prĂšs de "Stalincrack" oĂč l'insĂ©curitĂ© rĂšgne"Beaucoup de personnes ont dĂ©mĂ©nagĂ©, ce n'est plus vivable""C'est une trahison totale. Le discours d'Anne Hidalgo Ă©tait assez bancal pour ne pas dire un peu un tissu de mensonges. Les toxicomanes sont Ă  l'entrĂ©e du parc, trois entrĂ©es sur quatre sont condamnĂ©es et squattĂ©es par les consommateurs, et surtout par les terme mentir est peut-ĂȘtre un peu fort mais c'est la rĂ©alitĂ© car c'est elle qui a créé cette Ă©vacuation sans consulter la prĂ©fecture de police et aprĂšs, demande Ă  la prĂ©fecture de police d'intervenir...Beaucoup de personnes ont dĂ©mĂ©nagĂ©, ce n'est plus vivable. La majoritĂ© des gens voudraient partir mais n'ont pas les moyens. L'insulte est facile sur les riverains en disant "c'est des fachos" ou "c'est des bobos". On aime tous ce quartier et on ne comprend pas pourquoi ce serait Ă  nous de bouger.""Je suis vraiment trĂšs choquĂ© car depuis depuis deux mois les personnes sont de plus en plus jeunes""Moi qui suis au contact avec les consommateurs, ils nous demandent 'Pourquoi vous ne vous attaquez pas aux dealers?'. Ca touche tous les milieux et toutes les classes sociales le crack, je suis vraiment trĂšs choquĂ© car depuis depuis deux mois les personnes sont de plus en plus jeunes. Des jeunes de 16-17 ans qui tombent dedans et ça c'est quelque chose que je refuse d'accepter car ce sont des gens qu'on peut encore aider.""Quand je parle aux fonctionnaires de police la plupart sont dĂ©couragĂ©s et ne veulent plus intervenir sur place""Les dealers, ce sont nos voisins, ils sont tous identifiĂ©s, mais ça fait deux ans qu'on vit avec eux, la plupart son encore lĂ  et c'est ça qu'on ne comprend pas. Quand je parle aux fonctionnaires de police la plupart sont dĂ©couragĂ©s et ne veulent plus intervenir sur place. Et je peux le comprendre, car ça sert Ă  quoi d'arrĂȘter quelqu'un qui ressort le lendemain?Pour en sortir c'est trĂšs compliquĂ©, cette bĂȘte qui a Ă©tĂ© créé qui est le trafic de crack qui pullule et grossit de mois en mois depuis quasiment deux ans maintenant a totalement Ă©chappĂ© aux pouvoir municipaux et aux pouvoirs de l'Etat car c'est une responsabilitĂ© collective." PubliĂ©le 24 aoĂ»t 2022 Ă  12h15 par Thomas Bourseau Dimitri Payet vit des moments compliquĂ©s Ă  l’OM. Outre sa situation sportive qui n’est clairement plus la
ï»żDans le second Ă©pĂźtre aux galates, verset 20, Paul dit “ Ce n’est plus moi qui vis, c’est le Christ qui vit en moi.” Il l’avait senti affleurer, le Christ. Lorsque, assis, il se taisait, Que s’ouvraient les profondeurs planchers du moi Ce qui vivait en lui Ă©tait le Christ. Le Dieu en l’homme, le Dieu Vivant, le Soi, la Vie, A cet instant, aucun de ces termes ne gagnait prĂ©sĂ©ance sur les autres. Et le dĂ©bat sur l’attribution de la premiĂšre place ne se tenait simplement pas. Revenons sur la citation de Paul Cette citation n’est pas une dĂ©claration performative. Le Christ ne se met pas Ă  vivre en lui. Paul vivait dĂ©jĂ  de ce Christ mais ne le savait pas. Le recueillement, appelons-le assise, priĂšre, mĂ©ditation, lui a permis d’opĂ©rer ce basculement de conscience, tel un retournement de sablier
oĂč le rĂ©cipient du haut abolit la limite de temps. C’est une renaissance Ă  la mĂȘme vie . Il l’avait vu
Qu’irait-il vivre encore depuis son mode d’existence personnel, maintenant que le Christ vivait en lui ? Franck Joseph ©FJ May 2020 – All rights reserved. Les articles et mĂ©ditations sont disponibles en version papier ici RECUEILS Merci Ă  tous de rendre ce contenu possible Ă  travers vos Participations ou Dons
Celong-mĂ©trage Ă  voir en complet streaming VF 720p et 1080p full HD. Achat Cinquante nuances plus sombres en entier Ă  prix discount. VF-Couleurs-2017-112 min.Une histoire La Bible Louis Segond Galates 220 Louis Segond 1910 - J’ai Ă©tĂ© crucifiĂ© avec Christ ; et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi ; si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimĂ© et qui s’est livrĂ© lui-mĂȘme pour moi. Galates 220 Nouvelle Édition de GenĂšve - J’ai Ă©tĂ© crucifiĂ© avec Christ ; et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi ; si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimĂ© et qui s’est livrĂ© lui-mĂȘme pour moi. Galates 220 Segond 21 - J’ai Ă©tĂ© crucifiĂ© avec Christ ; ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi ; et ce que je vis maintenant dans mon corps, je le vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimĂ© et qui s’est donnĂ© lui-mĂȘme pour moi. Les autres versions Galates 220 Bible Semeur - Ce n’est plus moi qui vis, c’est le Christ qui vit en moi. Ma vie en tant qu’homme, je la vis maintenant dans la foi au Fils de Dieu qui, par amour pour moi, s’est livrĂ© Ă  la mort Ă  ma place. Galates 220 Bible français courant - de sorte que ce n’est plus moi qui vis, mais c’est le Christ qui vit en moi. Car ma vie humaine, actuelle, je la vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimĂ© et a donnĂ© sa vie pour moi. Galates 220 Bible annotĂ©e - Je suis crucifiĂ© avec Christ ; je vis, non plus moi-mĂȘme, mais Christ vit en moi ; et en tant que je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimĂ©, et qui s’est donnĂ© lui-mĂȘme pour moi. Galates Bible Darby - Je suis crucifiĂ© avec Christ ; et je ne vis plus, moi, mais Christ vit en moi ; -et ce que je vis maintenant dans la chair, je le vis dans la foi, la foi au fils de Dieu, qui m’a aimĂ© et qui s’est livrĂ© lui-mĂȘme pour moi. Galates 220 Bible Martin - Je suis crucifiĂ© avec Christ, et je vis, non pas maintenant moi, mais Christ vit en moi ; et ce que je vis maintenant en la chair, je le vis en la foi du Fils de Dieu, qui m’a aimĂ©, et qui s’est donnĂ© lui-mĂȘme pour moi. Galates Bible Ostervald - Je suis crucifiĂ© avec Christ, et si je vis, ce n’est plus moi, mais c’est Christ qui vit en moi ; et si je vis encore dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimĂ©, et qui s’est donnĂ© lui-mĂȘme pour moi. Galates 220 Bible de Tours - Et je vis, ou plutĂŽt ce n’est pas moi qui vis, mais c’est JĂ©sus-Christ qui vit en moi ; et si je vis maintenant dans ce corps mortel, j’y vis en la foi du Fils de Dieu, qui m’a aimĂ© et s’est livrĂ© lui-mĂȘme pour moi. Galates 2 v 20 Bible Crampon - et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est le Christ qui vit en moi. Ce que je vis maintenant dans la chair, je le vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimĂ© et qui s’est livrĂ© lui-mĂȘme pour moi. Galates 220 Bible Sacy - et je vis, ou plutĂŽt ce n’est plus moi qui vis, mais c’est JĂ©sus -Christ qui vit en moi ; et si je vis maintenant dans ce corps mortel, j’y vis en la foi du Fils de Dieu, qui m’a aimĂ©, et qui s’est livrĂ© lui-mĂȘme Ă  la mort pour moi. Galates 220 Bible Vigouroux - Et je vis, non ce n’est plus moi, mais c’est le Christ qui vit en moi ; et si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimĂ©, et qui s’est livrĂ© lui-mĂȘme pour moi. Galates 220 Bible de Lausanne - Je suis crucifiĂ© avec Christ, et je vis, non plus moi, mais c’est Christ qui vit en moi ; et ce que je vis maintenant en la chair, je vis en la foi, en la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimĂ© et qui s’est livrĂ© lui-mĂȘme pour moi. Les versions Ă©trangĂšres Galates 220 Bible anglaise ESV - I have been crucified with Christ. It is no longer I who live, but Christ who lives in me. And the life I now live in the flesh I live by faith in the Son of God, who loved me and gave himself for me. Galates 220 Bible anglaise NIV - I have been crucified with Christ and I no longer live, but Christ lives in me. The life I now live in the body, I live by faith in the Son of God, who loved me and gave himself for me. Galates 220 Bible anglaise KJV - I am crucified with Christ neverthless I live; yet not I, but Christ liveth in me and the life which I now live in the flesh I live by the faith of the Son of God, who loved me, and gave himself for me. Galates 220 Bible espagnole - Con Cristo estoy juntamente crucificado, y ya no vivo yo, mas vive Cristo en mĂ­; y lo que ahora vivo en la carne, lo vivo en la fe del Hijo de Dios, el cual me amĂł y se entregĂł a sĂ­ mismo por mĂ­. Galates 220 Bible latine - vivo autem iam non ego vivit vero in me Christus quod autem nunc vivo in carne in fide vivo Filii Dei qui dilexit me et tradidit se ipsum pro me Galates 220 Ce verset n’existe pas dans cette traducton ! Galates 220 Bible allemande - Und nicht mehr lebe ich, sondern Christus lebt in mir; was ich aber jetzt im Fleische lebe, das lebe ich im Glauben an den Sohn Gottes, der mich geliebt und sich selbst fĂŒr mich hingegeben hat. Galates 220 Nouveau Testament grec - ζ ÎŽáœČ ÎżáœÎșέÎč áŒÎłÏŽ, ζῇ ÎŽáœČ ጐΜ áŒÎŒÎżáœ¶ ΧρÎč· ᜃ ÎŽáœČ ÎœáżŠÎœ ζ ጐΜ αρÎșÎŻ, ጐΜ Ï€ÎŻÎ”Îč ζ ῇ οῊ âž‚Ï…áŒ±ÎżáżŠ οῊ ΞΔοῊ➃ οῊ áŒ€ÎłÎ±Ï€ÎźÎ±Îœ ΌΔ Îșα᜶ Ï€Î±ÏÎ±ÎŽÎœÎż ጑αυ᜞Μ ᜑπáœČρ áŒÎŒÎżáżŠ.
Cen'est pas ce qui se passe ici. Il y a des ouvertures vertigineuses sur un incommensurable Silence. Il y a des plongĂ©es dans un Amour total. Il y a des aperçues de LumiĂšre vivante embrassant tout. Il y a quelques secondes d'EternitĂ© durant lesquelles ce que je me pense ĂȘtre disparaĂźt totalement dans l'UnitĂ© de Ce qui est. Puis il y a cette petite Dom qui se

Lorsque vous maintenez vos ressentiments envers une autre personne, vous ĂȘtes liĂ© Ă  cette personne ou cette situation, par un lien Ă©motionnel qui est plus fort que l’acier. Pardonner est la seule façon de dissoudre ce lien et atteindre la libertĂ©Catherine PonderJe t’écris cette lettre, mĂȘme si je sais que tu ne la liras jamais. Tu m’as fait du mal, beaucoup de mal. Dans la nature, il n’y a pas de justice et je continue Ă  souffrir. Mais aujourd’hui, j’ai compris que quelque part, je devais arracher en moi le profond chagrin que je ressens et c’est ce que je vais me mĂ©fie de la rancƓur parce que ce n’est pas une bonne amie, c’est pour cela que je ne la veux pas avec moi. En plus, la rancƓur nous mĂšne Ă  ressentir de la peur et c’est prĂ©cisĂ©ment ce que je dois faire disparaĂźtre. Ce n’est pas que j’ai peur de toi, c’est que j’ai peur de revivre ma souffrance et de retomber dans la mĂȘme consĂ©quent, j’ai dĂ©cidĂ© que je devais y faire face, me mettre face Ă  toi et tout ce que tu signifies, et me faire valoir. Si je parviens Ă  rĂ©duire cette peur, je serai capable de rĂ©duire toutes les t’aimais et je te faisais confiance. En fait, je ne demandais rien d’extraordinaire, mais si j’avais su, je n’aurais pas permis que tu me fasses du mal. Je n’oublierais jamais cette douleur insupportable et tout ce que tu m’as appris malgrĂ© tout. Au bout du compte, je dois te remercier pour quelque appris que tu es incapable de donner Ă  quelqu’un quelque chose qu’il ne veut pas recevoir. Tu as eu le luxe de me le faire savoir de maniĂšre trĂšs claire. J’ai Ă©galement appris l’importance de savoir ce qui ne va pas et ce qui te consomme dans ta me suis rendue compte que tu Ă©tais tant nuisible pour moi que tu ne m’as pas laissĂ© avancer pendant le dit le proverbe, la vraie haine est le dĂ©sintĂ©rĂȘt et l’assassinat parfait est l’oubli. Je ne vais pas jeter une pierre vers le haut, car ce qui est probable c’est qu’elle me tombe sur la tĂȘte. Cela ne m’apporterait certainement pas le bonheur, mais au contraire ajouterait de la misĂšre Ă  ma vie sans dit que saigner ne fait pas mal, que c’est plutĂŽt agrĂ©able, comme si tu te dissolvais dans de l’huile et que tu respirais trĂšs profondĂ©ment. Il se passe la mĂȘme chose avec la douleur de l’ñme, car en quelque sorte elle t’anesthĂ©sie et tu n’es pas conscient de ce qui est supposĂ© ĂȘtre bien pour toi, jusqu’à ce qu’il soit trop suis peut-ĂȘtre entrain d’écrire ces lignes avec des larmes de sang et de profonde douleur, mais je suis en train de prendre le commandement et de m’habituer au gouvernail parce qu’il est venu le temps d’aller plus loin et de surmonter ce que tu as provoquĂ© en dois te dire que je t’écris ces mots parce que derriĂšre mon courage, il y a une grande tristesse, une humiliation infinie et une profonde sens que je marche au-dessus d’un volcan tandis que ma vie ne tient qu’à un fil, je dois donc laisser tomber le lourd fardeau que je suis supposĂ©e charger avec ce que tu as occasionnĂ© dans mon ĂȘtre n’ai pas besoin de grand chose pour me sentir bien, mais c’est pour cela que je dois Ă©vacuer toute cette douleur. À partir d’aujourd’hui, je ne te tiens plus aucune rancune, colĂšre ou rage, car je ne veux pas encombrer mon coeur de sentiments inutiles. Toute expĂ©rience douloureuse enferme Ă  l’intĂ©rieur une graine de la croissance et une rĂ©alitĂ©, aujourd’hui, je me suis demandĂ© si je pouvais faire quelque chose de louable, alors j’ai dĂ©cidĂ© d’écrire. Cette lettre n’est pas pour toi, elle est pour moi, parce que je dois libĂ©rer mes Ă©paules de ce ne veux pas quelque chose de nĂ©gatif dans ma vie et je me suis rendue compte que tu Ă©tais lĂ , tout comme la maniĂšre dont tu me fais me suis aperçue que rĂ©flĂ©chir sur toi est le plus grand acte d’amour-propre que je peux mener Ă  bien. Aujourd’hui, je peux dire que tu me rends un grand service, parce que maintenant plus que jamais je m’ sais que je ne veux pas faire de mon corps la tombe de mon Ăąme, que je peux faire face Ă  tout ce qui est en moi. Il ne faut pas avoir peur de vivre parce que tout consiste Ă  de Marc Little et Larissa Kulik

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Pourmoi ces femmes se complaisent dans ce genre de relation ça leur donne le sentiment d’exister. Pour moi la vie est courte et je suis plus vivante que jamais depuis que je ne suis plus avec ce monstre. Oui cela m a fait grandir et je sais aujourd’hui que plus jamais je ne laisserai ce genre d individu entrer dans ma vie. La vie est bien
Dans son stimulant essai, Deviens ce que tu es », le philosophe Dorian Astor, spĂ©cialiste de Nietzsche, dĂ©voile les ressources et les malentendus de l’une des plus cĂ©lĂšbres formules de l’histoire de la philosophie. Un plaidoyer pour la grande santĂ© nietzschĂ©enne, plus que jamais nĂ©cessaire. AttribuĂ©e Ă  Nietzsche, qui l’avait lui-mĂȘme empruntĂ© Ă  Pindare, la formule “deviens ce que tu es” a la puissance contagieuse d’une injonction contemporaine dont chacun pressent vaguement l’enjeu, par-delĂ  son Ă©trange opacitĂ© une invitation Ă  sortir de soi, Ă  s’affirmer dans un Ă©lan vitaliste et crĂ©atif. Mais est-ce si simple ? Pour Nietzsche, devenir ce que l’on est suppose que l’on ne pressente pas le moins du monde ce que l’on est. Comment s’y retrouver alors ? Devenue un stĂ©rĂ©otype de l’histoire de la philosophie, cette phrase est pleine de points aveugles, comme si sa forme quasi poĂ©tique crĂ©ait quelques malentendus et nĂ©cessitait quelques Ă©claircissements. C’est prĂ©cisĂ©ment ce Ă  quoi se livre le philosophe Dorian Astor, spĂ©cialiste stimulant de la pensĂ©e de Nietzsche, comme en tĂ©moignait son beau livre, paru en 2014, Nietzsche, la dĂ©tresse du prĂ©sent Gallimard. Dans ce nouvel essai, Deviens ce que tu es. Pour une vie philosophique Autrement, il dĂ©plie la formule mythique pour en dĂ©voiler les ressources autant que les piĂšges. Avec finesse, Dorian Astor nous suggĂšre que devenir ce que l’on est, c’est surtout une maniĂšre de ne pas trop se poser la question “qui suis-je ?” ; c’est surtout une maniĂšre de traverser l’ensemble de ses devenirs, c’est-Ă -dire “expĂ©rimenter”. Sensible Ă  la philosophie du devenir et Ă  la question de l’individuation, Dorian Astor revient ici sur l’histoire de cette formule cĂ©lĂšbre, tout en rappelant en quoi la pensĂ©e de Nietzsche, encore rejetĂ©e par beaucoup de penseurs, compte dans notre prĂ©sent. Comme le rappelle un autre ouvrage collectif qu’il a dirigĂ© avec Alain Jugnon, Pourquoi nous sommes nietzschĂ©ens Les impressions nouvelles, le diagnostic nietzschĂ©en du nihilisme, du ressentiment, de la haine fanatique du devenir
 est plus que jamais nĂ©cessaire aujourd’hui. La formule de Nietzsche, reprise du poĂšte grec Pindare, “Deviens ce que tu es”, est devenue une sorte de mantra dans l’histoire de la philosophie. Pourquoi avez-vous voulu revenir dessus ? Dorian Astor – PrĂ©cisĂ©ment parce que cette phrase est une tarte Ă  la crĂšme. Cela sert de slogan Ă  tout ce que l’on veut ; cela a mĂȘme Ă©tĂ© le slogan de l’armĂ©e de terre pour recruter, c’est dire. Il existe un grand malentendu autour de cette formule c’est sur ce malentendu que je voulais travailler. Une phrase comme celle-lĂ  a une longue histoire ; je voulais remettre sur le tapis cette injonction et lui rendre son caractĂšre problĂ©matique. Depuis quand vous hante-t-elle, au point de vouloir en faire un problĂšme ? C’est une phrase piĂšge, qui semble suggĂ©rer Ă©normĂ©ment mais qui, si on ne prend pas acte des paradoxes qu’elle contient, ne veut pas dire grand-chose. Je l’avais dans l’oreille depuis que j’étudie Nietzsche, c’est-Ă -dire plus de vingt ans dĂ©jĂ . Elle est emblĂ©matique du danger que court tout lecteur de Nietzsche la formule frappe immĂ©diatement, mais dĂšs qu’on la dĂ©plie, elle devient vertigineuse parce qu’elle n’indique rien, ni ce qu’on devient ni ce qu’on est. C’est pourquoi il me fallait rester dans une dĂ©marche un peu dĂ©ceptive devenir ce que l’on est — c’est-Ă -dire vivre, devenir — c’est justement rĂ©soudre des problĂšmes. Comment expliquez-vous la prospĂ©ritĂ© de cette phrase dans l’histoire de la philosophie et dans l’imaginaire contemporain ? Cette formule fonctionne trĂšs bien parce que la sociĂ©tĂ© contemporaine est un mĂ©lange trĂšs paradoxal d’injonction Ă  l’individualisme et de soumission aux Ă©tats de fait. Tout s’organise pour que nous affirmions notre “personnalitĂ©â€ comme gage de notre autonomie. Or cette phrase nous incite Ă  nous glorifier d’ĂȘtre nous-mĂȘmes tu fais ce que tu veux, tu es comme tu veux, sois toi-mĂȘme. Je cite volontiers cette rĂ©plique de Sylvie Joly “je n’ai pas de secret, je suis moi, c’est tout
”. En mĂȘme temps, le “deviens ce que tu es” rappelle aussitĂŽt qu’on n’est pas encore soi-mĂȘme la pointe douloureuse, c’est le rappel de notre aliĂ©nation. Tu es empĂȘchĂ©, tu as envie de tout plaquer, de dire merde, et tu ne le fais pas. C’est la façade de ce slogan tu es prĂ©cieux, tu es unique, mais tu es bloquĂ©, libĂšre-toi. C’est pour cela que la formule marche, captĂ©e par la vogue du dĂ©veloppement personnel. Cette injonction est-elle au cƓur de l’Ɠuvre de Nietzsche ? Elle est centrale, mais elle a deux versants, l’un Ă©vident et l’autre beaucoup plus opaque d’un cĂŽtĂ©, elle signale la philosophie de l’esprit libre, la conquĂȘte de l’indĂ©pendance, l’exaltation de l’individualitĂ©. Mais la difficultĂ©, c’est que Nietzsche est tout sauf un individualiste. Il mĂ©prise l’individu tel qu’il s’est fixĂ© en sujet, c’est un holiste qui soumet l’évaluation de l’individu aux processus organiques, psychiques et culturels qui, ensemble, forment le devenir. “Ce que tu es”, cela concerne l’individu mais “deviens”, cela interroge le processus d’individuation lui-mĂȘme. Chez Nietzsche, comme chez Leibniz, Whitehead, Simondon ou Deleuze, l’individuation est centrale, elle est au cƓur de l’ontologie. L’ĂȘtre est une puissance auto-individuante. On est trĂšs au-dessus du simple dĂ©veloppement “personnel”. Comment Nietzsche a-t-il dĂ©couvert cette phrase de Pindare ? TrĂšs jeune, durant ses Ă©tudes de philologie classique. Elle Ă©maille l’ensemble de son Ɠuvre, sans dĂ©veloppement explicite, sauf dans Ecce homo, tout Ă  la fin cette autobiographie philosophique oĂč il entreprend de dire qui il est. C’est lĂ  qu’il rappelle que devenir ce que l’on est suppose que l’on ne pressente pas le moins du monde ce que l’on est. Il faut passer au-dessous de la volontĂ© consciente du sujet. Et mĂȘme se faire plus petit, plus mĂ©diocre, hĂ©siter, se tromper. Il faut laisser les forces sous-jacentes travailler en profondeur Ă  la tĂąche dominante. C’est Ă©videmment l’inconscient qui est ici pris en compte. Mais quelle diffĂ©rence faites-vous entre le “devenir-moi” de Freud et le “devenir-soi” de Nietzsche ? Il y a une grande proximitĂ© entre eux autour de l’idĂ©e que le moi n’est pas maĂźtre chez lui ; c’est leur anti-cartĂ©sianisme. Cela passe chez l’un et l’autre par une interprĂ©tation pĂ©nĂ©trante des processus inconscients, de la vie pulsionnelle. LĂ  oĂč cela bifurque, c’est que Freud cherche un savoir du moi et une connaissance de l’inconscient, une reconquĂȘte de soi par la conscience et le discours ; alors que Nietzsche est plus prĂšs d’une sagesse silencieuse du soi. Il y a un maĂźtre cachĂ© et inconnu derriĂšre le moi, c’est le soi, dit Zarathoustra. Il ne s’agit pas de se laisser emporter par ses pulsions, car elles sont contradictoires et mĂšnent au chaos pulsionnel ce que Nietzsche appelle la dĂ©cadence. Pour Nietzsche, la maĂźtrise de soi est essentielle, mais cette maĂźtrise est une modestie, une oreille et un acquiescement Ă  la puissance crĂ©atrice de l’inconscient, plus sage que nous. Se faire plus impersonnel — ou plus-que-personnel, disait Deleuze. La cure analytique rend le moi si bavard
 En faisant du moi un sujet du discours, elle en fait aussi un objet en voie de normalisation. Le moi n’est pas une bouche, mais une oreille. Qu’est-ce que devenir un sujet ? J’oppose, aprĂšs d’autres, le sujet et l’individu. Un sujet rĂ©pond il est responsable et rĂ©flexif. Le pilote du sujet, c’est le moi. Alors que le pilote de l’individu, pour ainsi dire, c’est le soi. Il n’y a pas de sujet inconscient ; en revanche, il y a de l’individuel dans l’inconscient, ou plus prĂ©cisĂ©ment des processus d’individuation — organiques, psychiques et collectifs. Les subjectivations sont les fonctions de structures psychologiques et sociales elles produisent des sujets du discours et de l’action, de l’éthique, du droit, de la psychologie, etc. Les sujets sont dits agents, mais ils sont le plus souvent agis. Alors Ă©videmment, un individu est affectĂ© par ses propres processus de subjectivation, mais ce pouvoir mĂȘme d’ĂȘtre affectĂ© rĂ©clame une activitĂ© non subjective, un agissement sans agent qu’on peut appeler individuation ou devenir. L’histoire est peut-ĂȘtre un “procĂšs sans sujet”, comme disait Althusser c’est elle qui subjective, mais le devenir est le procĂšs mĂȘme de l’individuation. Comment qualifier la philosophie du devenir, qui vous intĂ©resse, par opposition Ă  la philosophie de l’ĂȘtre ? Pour le dire vite, les philosophies du devenir n’opposent pas l’ĂȘtre et le devenir, l’un et le multiple, mais cherchent Ă  comprendre ce qu’est l’ĂȘtre du devenir, l’unitĂ© du multiple, avec l’intuition qu’il n’y en a pas d’autre, que l’ĂȘtre ne se dit que du devenir et de la multiplicitĂ©, et de rien d’autre. Badiou, dans son magnifique Deleuze. La clameur de l’ĂȘtre, parle trĂšs bien de cela paradoxalement, ce sont les philosophes de la multiplicitĂ© et du devenir qui affirment le plus fermement l’univocitĂ© de l’ĂȘtre voyez par exemple, chez Spinoza, une infinitĂ© de modes qui expriment une substance unique. Au contraire, si, pour comprendre qu’il y ait de la multiplicitĂ©, on oppose ou articule l’ĂȘtre et le devenir, l’ĂȘtre et le non-ĂȘtre, l’ĂȘtre et l’apparence, etc., on est obligĂ© de dire l’ĂȘtre en plusieurs sens, il devient Ă©quivoque, et il faut alors le classer en catĂ©gories, qui sont de fausses multiplicitĂ©s. Les philosophies du devenir se donnent des multiplicitĂ©s pures ce que Whitehead appelait diversitĂ© disjonctive, Nietzsche le chaos ou Deleuze des singularitĂ©s prĂ©-individuelles et cherchent Ă  pĂ©nĂ©trer le processus par lequel ces multiplicitĂ©s sont toujours dĂ©jĂ  mises en relation, comment elles s’entr’expriment Leibniz, se hiĂ©rarchisent Nietzsche, se prĂ©hendent Whitehead, s’individuent Simondon, s’actualisent Deleuze, etc. Ce sont, Ă  des degrĂ©s divers, des ontologies de la relation, avec l’idĂ©e que la relation prĂ©existe Ă  ses termes, qu’elle produit ses propres termes. Qu’est-ce qu’une mise en relation ? C’est un Ă©vĂ©nement. Pour Leibniz, la “notion complĂšte” d’un individu, c’est l’ensemble de tout ce qui lui est arrivĂ©, lui arrive et lui arrivera. Il y a chez lui cette idĂ©e formidable qu’un prĂ©dicat et un Ă©vĂ©nement, c’est la mĂȘme chose. Une telle position ouvre la porte Ă  une remise en question radicale de l’opposition entre essence et accident, entre nĂ©cessitĂ© et contingence, entre ĂȘtre et devenir. Finalement, “deviens ce que tu es”, c’est une maniĂšre d’inviter Ă  ne pas poser trop tĂŽt la question “qui suis-je ?”, mais Ă  traverser l’ensemble de ses devenirs, c’est-Ă -dire Ă  expĂ©rimenter. Notre “notion complĂšte” vient toujours Ă  la fin, mort comprise. Ce que Nietzsche appelait un destin, c’est-Ă -dire du hasard devenu nĂ©cessitĂ©, Ă  force d’expĂ©rimentation. Vous vous situez dans cette tradition du devenir depuis longtemps ? Oui, depuis longtemps, peut-ĂȘtre depuis toujours — sans le savoir, comme monsieur Jourdain ! C’est un instinct. Simplement, en dĂ©couvrant cette “tradition” ou plutĂŽt cette “famille” de philosophes, je me suis rendu compte que c’est Ă  eux, infiniment plus grands que moi, que je devrais m’allier pour essayer de penser quelque chose. Je me demande toujours pourquoi on est ceci plutĂŽt que cela, leibnizien plutĂŽt que cartĂ©sien, spinoziste plutĂŽt que kantien, nietzschĂ©en plutĂŽt qu’hĂ©gĂ©lien. Et quelle que soit l’originalitĂ© Ă  laquelle on aspire, on appartient Ă  une famille de philosophes, mĂȘme s’il faut la quitter pour atteindre Ă  sa “majoritĂ©â€. Quitter ce que l’on aime, c’est toujours le plus difficile et le plus beau. Que signifie ĂȘtre nietzschĂ©en en 2016 ? J’ai du mal avec cette expression ; le titre de notre livre collectif, Pourquoi nous sommes nietzschĂ©ens, est volontairement ironique et problĂ©matique. C’est une rĂ©fĂ©rence explicite au livre paru en 1991, Pourquoi nous ne sommes pas nietzschĂ©ens. Je ne sais pas exactement ce que veut dire ĂȘtre nietzschĂ©en. Si je dis que je le suis, c’est parce que Nietzsche est l’objet de mon Ă©tude, que je le connais bien. Ensuite, revendiquer qu’il faut ĂȘtre nietzschĂ©en aujourd’hui, c’est une vraie question, ce n’est pas une Ă©vidence ; c’est une question Ă  laquelle je me suis patiemment et douloureusement confrontĂ© dans mon livre prĂ©cĂ©dent, Nietzsche. La dĂ©tresse du prĂ©sent. Je ne me proclame donc pas nietzschĂ©en, je prĂ©tends qu’aujourd’hui moins que jamais, il ne faut pas lĂącher la lecture de Nietzsche. Cela veut dire affronter ce qui, en nous, rĂ©siste violemment Ă  sa lecture notamment sa conception profondĂ©ment hiĂ©rarchique de l’humanitĂ©, mais aussi se mĂ©fier des sĂ©ductions trop faciles son injonction Ă©quivoque Ă  la libertĂ© de l’esprit, Ă  la joie, Ă  l’amour du destin. Le fait est que je ne peux ni ne veux me soustraire Ă  ses sollicitations, tout en insistant sans cesse sur le fait qu’elles sont un peu trop grandes pour nous. Dans notre collectif, chacun livre une expĂ©rience diffĂ©rente de Nietzsche, chacun y puise ce dont il a besoin pour sa propre pensĂ©e. Avec toujours cette tension entre la nĂ©cessitĂ© de le surmonter et l’intuition qu’il y a chez lui quelque chose d’insurmontable. En tout cas, le danger est qu’il se mette Ă  parler par notre bouche, Ă  notre place. J’ai beaucoup parlĂ© avec les mots de Nietzsche. Il faut se mĂ©fier. Être nietzschĂ©en, c’est ĂȘtre un “noble traĂźtre” encore un mot de lui !. Ou, comme disait Deleuze, lui faire un enfant dans le dos. Mais en quoi est-il aujourd’hui important selon vous ? D’un point de vue psychologique, Ă©thique, politique et culturel, il me semble que son diagnostic du nihilisme, de l’idĂ©alisme, du ressentiment, de la vĂ©nĂ©ration des faits le “faitalisme”, de la haine fanatique du devenir, son portrait de la figure toxique du “prĂȘtre”, sa gĂ©nĂ©alogie de ce qui nous fait nous retourner contre nous-mĂȘmes sont plus que jamais nĂ©cessaires aujourd’hui. Si l’on accepte de dire avec Nietzsche comme avec Freud que notre culture n’a toujours pas cessĂ© de nous rendre littĂ©ralement malades, alors nous avons besoin de vouloir une “grande santĂ©â€ nietzschĂ©enne. Cela ne dĂ©signe pas une explosion chaotique d’ivresse dionysiaque, mais le renversement mĂ©thodique et acharnĂ© de valeurs dominantes hostiles Ă  la vie qui se donnent pour la seule rĂ©alitĂ© possible. Pourquoi est-il encore dĂ©testĂ© par certains philosophes ? Bon, on ne peut obliger personne Ă  aimer Nietzsche. Comme je le disais tout Ă  l’heure, c’est une affaire d’instinct et d’affinitĂ©. Mais pour les anti-nietzschĂ©ens du type de ceux qui ont Ă©crit le livre de 1991 ils sont encore nombreux aujourd’hui, Nietzsche est en rĂ©alitĂ© un paravent, un prĂ©texte. Leur anti-nietzschĂ©isme est un dommage collatĂ©ral. Ce qui est visĂ©, aujourd’hui encore, derriĂšre Nietzsche, c’est ce qu’on appelle, avec une moue dĂ©goĂ»tĂ©e, “la pensĂ©e 68”. Les auteurs de Pourquoi nous ne sommes pas nietzschĂ©ens, dĂšs leur prĂ©face, mettaient cartes sur table il s’agissait d’en finir avec “Foucault, Deleuze, Derrida, Althusser, Lacan” et quelques autres, en finir avec la “philosophie au marteau” et “l’exercice infini de la dĂ©construction”. Or, ces “maĂźtres Ă  penser”, comme ils disent, sont une menace redoutable pour l’idĂ©ologie contemporaine dominante. Quand on voit la maniĂšre intolĂ©rable dont s’exercent les pouvoirs Ă  tous niveaux, partout, localement et mondialement, politiquement, socialement, Ă©conomiquement, pouvoirs coercitifs ou incitatifs Ă  toutes les Ă©chelles d’existence, on se dit qu’en guise de tracts, il faudrait arroser les rues du texte de Foucault en prĂ©face de l’édition amĂ©ricaine de L’Anti-ƒdipe de Deleuze et Guattari “Introduction Ă  la vie non fasciste”. D’ailleurs, le terme “fasciste”, mis aujourd’hui Ă  toutes les sauces mais c’est un symptĂŽme dĂ©cisif trouve dans L’Anti-ƒdipe son vĂ©ritable sens philosophique, comme type de production dĂ©sirante. Or, c’est bien de cela qu’il s’agit aujourd’hui lutter contre les investissements microfascistes du dĂ©sir. En termes de dĂ©sir, ou de “volontĂ© de puissance”, il y va encore de la figure nietzschĂ©enne du “prĂȘtre”. Bref, pour en revenir aux anti-nietzschĂ©ens, s’ils sont animĂ©s par du ressentiment, c’est celui qu’ils vouent Ă  68 comme cas d’un pur â€œĂ©vĂ©nement” et qui selon eux doit faire l’objet d’une liquidation sans relĂąche rien n’est advenu, rien ne doit advenir. Le plus drĂŽle, c’est que c’est en accusant Nietzsche d’ĂȘtre rĂ©actionnaire qu’ils dĂ©chargent leur propre pulsion rĂ©actionnaire. Quant au caractĂšre rĂ©actionnaire de la pensĂ©e de Nietzsche, je m’en suis longuement expliquĂ© dans La DĂ©tresse du prĂ©sent. En tout cas, je fais partie d’une gĂ©nĂ©ration de “nietzschĂ©ens” qui a reçu un double hĂ©ritage celui d’une formidable inventivitĂ© du nietzschĂ©isme d’un Deleuze ou d’un Foucault celui-ci Ă©tant peut-ĂȘtre le plus nietzschĂ©en de tous et celui d’une lecture philologique de Nietzsche, prĂ©cise et patiente, immanente aux textes par exemple, ma lecture doit autant Ă  Deleuze qu’à mon ami Patrick Wotling, peut-ĂȘtre le plus Ă©minent nietzschĂ©en français aujourd’hui, et qui est largement dĂ©favorable Ă  la lecture deleuzienne de Nietzsche. J’entends bien ne pas cĂ©der d’un pouce sur la double injonction de ces deux hĂ©ritages, c’est Ă  cette condition qu’il y aura un avenir pour Nietzsche. Il faut chercher le moi “non pas en soi, mais loin au-dessus de soi”, disait Nietzsche. Il est oĂč ce loin ? Pour toutes les raisons Ă©voquĂ©es tout Ă  l’heure, le moi ne peut plus ĂȘtre considĂ©rĂ© comme une origine, il est plutĂŽt Ă  produire. Zarathoustra dit en gros qu’il faut devenir les sculpteurs de nous-mĂȘmes. Alors certes, c’est peut-ĂȘtre un “idĂ©al”, Nietzsche dirait plutĂŽt un but. En tout cas, si le moi est une visĂ©e ou une protention, la question fondamentale n’est plus l’origine ou le passĂ© comme en psychanalyse mais l’avenir et le projet Whitehead, Ă  propos de son concept de sujet, parle de “superjet”. Se penser comme marchepied d’un avenir, penser une “philosophie de l’avenir” est l’une des grandes tĂąches que Nietzsche s’est fixĂ©es. Comme une ascĂšse ? Oui. On ne confondra pas la critique de l’ascĂ©tisme morbide dĂ©veloppĂ©e par Nietzsche notamment dans La GĂ©nĂ©alogie de la morale et sa propre nature ascĂ©tique, qui est une ascĂšse de la santĂ© malgrĂ© sa maladie, ou Ă  cause d’elle. Tous les grands philosophes sont des ascĂštes. Parce que la philosophie est d’abord un exercice spirituel, comme le disait Pierre Hadot analysant la dimension pratique des philosophies antiques. Le moi est le fruit d’un exercice, parce qu’il est une perspective qui se construit, comme en peinture ou en gĂ©omĂ©trie projective. La grande question a toujours Ă©tĂ© l’articulation dĂ©licate de la vie thĂ©orĂ©tique, contemplative, et de la vie active. Au fond, ce qui agit, ce n’est pas le moi, mais plutĂŽt le soi, pour le dire trop rapidement. Au lieu de penser le moi comme agent responsable, on peut le penser comme point de vue rĂ©flĂ©chissant et donc, dĂ©jĂ , Ă©valuant. Spinoza polissait des lentilles. Quelles lunettes je me fabrique pour tenir Ă  juste distance ce monde dans lequel je suis pourtant tout entier plongĂ©, agi et agissant ? Trouver le bon point de vue Leibniz, se faire le plus d’yeux possible Nietzsche, voilĂ  un exercice philosophique. On ne pose pas des valeurs pour s’y exercer ensuite, c’est Ă©valuer qui fait tout l’exercice “la foi adĂ©quate s’ajoutera d’elle-mĂȘme, soyez-en sĂ»rs” Aurore. Devenir ce que l’on est, est-ce un rĂȘve impossible ? Ce n’est ni un rĂȘve ni impossible c’est une expĂ©rimentation, et par dĂ©finition c’est le rĂ©sultat de la tentative qui dĂ©termine si ce qui a Ă©tĂ© tentĂ© Ă©tait possible ou non. Ce n’est pas une question de possibilitĂ©, mais plutĂŽt de virtualitĂ©. Sans doute y a-t-il une infinitĂ© de virtualitĂ©s qui ne s’actualiseront jamais ou pas encore. Ce qui est impossible, c’est de savoir Ă  l’avance ce que l’on est — et mĂȘme ce que l’on devient. Avez-vous dĂ©jĂ  eu le sentiment de devenir ce que vous Ă©tiez ? J’allais dire tout le temps et jamais. Je sens bien, comme tout le monde, que je deviens et que c’est sans doute cela que je suis, du moins chaque fois que j’y pense c’est toujours une halte. Localement, on dĂ©cĂšle des constantes, des bifurcations, des retours, des nouveautĂ©s. Comme un mĂ©lange d’occurrences et de rĂ©currences, qu’il faut dĂ©mĂȘler et dont on cherche Ă  trouver la cohĂ©rence. Si un individu est la somme de tout ce qui lui arrive et mĂȘme, en nĂ©gatif, de ce qui ne lui arrive pas, comment pourrais-je dire qui je suis avant d’en avoir fait la somme ? Seul Dieu saurait faire ce calcul, mais je ne suis pas assez leibnizien pour compter sur une calculatrice divine 
 Je ne suis mĂȘme pas sĂ»r de pouvoir calculer ce qui m’est arrivĂ© dans le passĂ© et ce qui m’arrive aujourd’hui. En revanche, je crois qu’il y a des devenirs qui se s’épuisent ou se rĂ©sorbent, localement. Un exemple bĂȘte trĂšs longtemps, j’ai voulu faire de la musique professionnellement, j’y suis mĂȘme un peu arrivĂ© — et puis j’ai fini par abandonner, pour mille bonnes raisons. Mon “devenir-musicien”, qui m’a pris tant d’énergie et de temps, s’est Ă©puisĂ©. C’est comme une autre vie qui a laissĂ© de nombreuses traces dans la mienne toutes joyeuses mais c’est le petit tombeau d’un devenir en moi. C’est la mĂȘme chose pour nos amours passĂ©es et, au fond, pour tout ce par quoi nous sommes passĂ©s ou qui est passĂ© par nous nous sommes entiĂšrement striĂ©s par les anciens passages de devenirs rĂ©sorbĂ©s. Mais c’est comme les cours d’eau ils peuvent gonfler ou s’amenuiser, confluer ou se diviser, faire de longs mĂ©andres ou dĂ©ferler droit vers la mer, ils peuvent aussi s’assĂ©cher dĂ©finitivement ou attendre la prochaine saison des pluies. Se connaĂźtre soi-mĂȘme, c’est moins Ă©crire un livre d’histoire que dresser une cartographie. Devenir ce que l’on est, c’est rĂ©soudre des problĂšmes, disiez-vous ; n’est-ce pas une position minimale ? Oui, c’est minimal. En tout cas cela ne prĂ©juge pas du contenu des solutions adoptĂ©es. C’est le mouvement de la problĂ©matisation elle-mĂȘme qui m’intĂ©resse, auquel appartiennent constitutivement les tentatives de rĂ©solution. ConsidĂ©rer la vie comme cycle permanent de problĂšmes/solutions y compris, Ă©videmment, apories, impasses, Ă©checs, nouvelles tentatives ou abandons est beaucoup plus Ă©clairant que de l’aborder comme simple conservation ou adaptation, qui n’en sont que des expressions parmi d’autres, des solutions de contournement, des ruses au service d’un problĂšme beaucoup plus vaste comment croĂźtre ? Qu’est-ce qui relie votre gĂ©nĂ©ration philosophique ? Je ne le formulerais pas en termes de gĂ©nĂ©ration. Il y a beaucoup de gĂ©nĂ©rations diffĂ©rentes contemporaines les unes des autres. On parlait tout Ă  l’heure de famille, je prĂ©fĂ©rerais mĂȘme parler d’amis et je n’ai pas besoin de les nommer — il y a mĂȘme des amis qu’on ne connaĂźt pas, il me suffit de savoir qu’ils existent et travaillent, on finira bien par confluer. Mes amis ne sont pas des nihilistes, ni des cyniques, encore moins des dĂ©cadentistes il faut dire “dĂ©clinistes” aujourd’hui. Ils ne sont ni cyniques ni relativistes ou alors, comme moi, des “relationistes” ou dĂ©sabusĂ©s. Ils ne sont pas davantage dogmatiques et tĂ©moignent, pour le dire avec Nietzsche, d’un “scepticisme de la force”. Mais nous ne sommes pas non plus optimistes ni aveuglĂ©ment confiants dans le progrĂšs. Nous avons de grandes colĂšres, de profonds mĂ©pris et de sourdes inquiĂ©tudes. Mais c’est Ă  proportion de ce que nous savons admirer, aimer et acquiescer, nous sommes trĂšs sensibles aux foyers potentiels de rĂ©sistance, d’affirmation, de crĂ©ation et d’affranchissement. L’époque actuelle, dans ce qu’elle fait voir et entendre, est vraiment misĂ©rable et nous allons probablement vers quelque chose de pire. Mais Ă  chaque Ă©poque, il y a un monde en dĂ©composition et un monde en devenir. Aujourd’hui, la dĂ©composition pue de maniĂšre obscĂšne, mais il faut avoir l’odorat fin pour flairer ce qui se compose, se met en relation et croĂźt. Toute Ă©poque est une Ă©poque de transition. Mais n’est-ce pas dans cette transition que naissent les monstres, comme le disait Gramsci ? Oui, mais cela est aussi le moment oĂč naissent les tueurs de monstres, ils leur sont toujours contemporains. Comme DiogĂšne, la lanterne Ă  la main, il faut chercher des hommes potentiels. Nous sommes dans une pĂ©riode oĂč ces potentiels sont particuliĂšrement invisibles et inaudibles. Il est trĂšs difficile de les voir et de les entendre, et je sais que les amis et les alliĂ©s en sont tous lĂ  du pĂ©nible dĂ©chiffrement de cette opacitĂ©. Comme disait Deleuze, la musique rend audible des choses qui sans cela seraient inaudibles ; de mĂȘme la philosophie rend pensable des choses qui sans cela seraient impensables. Il faut ĂȘtre constructiviste, expĂ©rimental et local ; il faut chercher, faire des agencements, voir si cela marche ou pas, aller voir ailleurs. J’ai une devise qui est d’esprit Ă  la fois Ă©picurien et spinoziste ni espoir ni crainte. L’espoir et la crainte sont de mĂȘme nature l’un et l’autre compensent illusoirement l’ignorance et l’indĂ©termination. Essayer de rĂ©soudre un problĂšme, d’établir une relation, de trouver une issue, tout cela n’a rien Ă  voir avec l’espoir ou la crainte. À la lettre, toute tentative est dĂ©sespĂ©rĂ©e et inespĂ©rĂ©e. Il faut vivre avec l’indĂ©termination inhĂ©rente Ă  toute tentative s’il se trouve qu’il n’y a pas d’issue, il Ă©tait vain d’espĂ©rer ; mais s’il on en trouve une, il n’y avait pas lieu de craindre. Propos recueillis par Jean-Marie Durand Deviens ce que tu es. Pour une vie philosophique, par Dorian Astor Autrement, 160 p, 15 euros
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Passer au contenu Contact AccueilÀ proposCoachingTĂ©moignagesConseilsRecherche d’emploiLettre de motivationEntretien d’embaucheRĂ©ussite au travailDĂ©missionDĂ©marrer ma formation gratuite Comment rĂ©pondre Ă  Quelle est votre plus grande rĂ©ussite ? » Voir l'image agrandie Comment rĂ©pondre Ă  Quelle est votre plus grande rĂ©ussite ? » Quand vous vous prĂ©parez Ă  passer un entretien d’embauche, vous essayez de mettre au point des rĂ©ponses aux questions les plus couramment posĂ©es par les recruteurs. En gĂ©nĂ©ral, ces questions concernent votre motivation, vos compĂ©tences et votre parcours professionnel. Il y a des questions difficiles comme Parlez-moi d’une fois oĂč vous avez eu un conflit avec votre patron. » ou Parlez-moi d’une fois oĂč vous avez commis une erreur. » En comparaison, la question Quelle est votre plus grande rĂ©ussite professionnelle ? » semble ĂȘtre facile. Pourtant elle n’est pas anodine, surtout pour les personnes qui ont la modestie de penser qu’elles n’ont jamais fait de grandes choses au travail. Avec cet article, je vous propose de prendre quelques minutes pour rĂ©flĂ©chir Ă  la façon dont vous allez rĂ©pondre Ă  cette question si on vous la pose. 1. Pourquoi le recruteur vous demande-t-il de parler de votre plus grand succĂšs professionnel ? Le succĂšs professionnel que vous allez choisir de mentionner va donner au recruteur des informations sur votre dĂ©finition du succĂšs, maniĂšre de travailler pour arriver au succĂšs, vision de ce qui est important au travail. À partir de ces informations, le recruteur va pouvoir estimer si vos compĂ©tences et votre Ă©thique de travail correspondent bien aux besoins et Ă  la culture de l’entreprise. 2. De quel succĂšs devez-vous choisir de parler ? Vous devez faire des recherches sur l’entreprise et rassembler des renseignements sur ses difficultĂ©s, ses besoins et sa culture. À partir de ces informations, vous devez rĂ©flĂ©chir et choisir dans votre parcours professionnel une ou plusieurs histoires qui dĂ©montreront que vous ĂȘtes capable de rĂ©pondre aux besoins de l’entreprise, compatible avec sa culture. Ces histoires doivent dĂ©montrer que vous avez un vĂ©cu professionnel pertinent pour rĂ©ussir sur le poste Ă  pourvoir. Par exemple, si vous appris de source sĂ»re que la personne qui occupait le poste que vous ciblez, a perdu son travail Ă  cause de grandes difficultĂ©s relationnelles avec le patron de l’entreprise, je vous recommande de raconter un succĂšs professionnel qui montre Ă  quel point vos qualitĂ©s relationnelles ont Ă©tĂ© utiles Ă  votre prĂ©cĂ©dent employeur. Les question Ă  vous poser pour identifier les rĂ©ussites dont vous pouvez parler Ă  un recruteur. Vous trouverez ci-dessous une liste de questions Ă  vous poser pour identifier les rĂ©ussites professionnelles dont vous pouvez parler durant un entretien d’embauche– Comment avez-vous aidĂ© votre prĂ©cĂ©dent employeur Ă  atteindre ses objectifs–? Quels impacts positifs avez-vous eu sur les personnes avec qui vous avez travaillé–? Qu’avez-vous fait pour amĂ©liorer l’organisation de votre employeur ? Qu’avez vous fait pour amĂ©liorer l’expĂ©rience utilisateurs / clients ? Il y a-t-il dans votre vie personnelle des activitĂ©s, des passions ou des faits qui dĂ©montrent que vous possĂ©dez des qualitĂ©s ou des compĂ©tences dignes d’ĂȘtre mentionnĂ©s durant un entretien d’embauche ? En rĂ©pondant Ă  ces questions, vous aurez une bonne base de rĂ©flexion qu’il faudra utiliser pour formuler une rĂ©ponse. C’est justement ce que nous allons voir maintenant. 3. Comment formuler une rĂ©ponse qui prĂ©sente votre plus grande rĂ©ussite professionnelle ? Vous avez identifiĂ© les besoins de l’employeur, vous avez une idĂ©e de sa culture d’entreprise. Vous savez exactement quelle Ă©lĂ©ment positif de votre parcours professionnel vous allez mettre en avant. Il ne vous reste plus qu’à mettre en forme votre rĂ©ponse. Comment formuler votre rĂ©ponse ? Comme pour toutes les questions qui vous seront posĂ©es durant l’entretien d’embauche, il vous faudra utiliser une stratĂ©gie pour rĂ©pondre. Je vous recommande de raconter une anecdote structurĂ©e avec la mĂ©thode STAR Situation, Travail Ă  faire, Action, RĂ©sultats. Voici un exemple de rĂ©ponse Ă  la question Quelle est votre plus belle rĂ©ussite ? », le candidat est un responsable commercial. Exemple [Situation] Ma plus grande rĂ©alisation a Ă©tĂ© lorsque j’ai aidĂ© l’entreprise SERCOM pour laquelle je travaillais Ă  convaincre l’opĂ©rateur de tĂ©lĂ©phonie mobile REEF d’utiliser ses serveurs 5G. [Travail Ă  faire] Mon travail consistait Ă  promouvoir et conclure la vente de serveurs tout en ventant les avantages Ă  long terme de la technologie 5G. C’était un dĂ©fit parce que notre marque devait faire face Ă  une trĂšs forte concurrence notamment celle des marques asiatiques et amĂ©ricaines. [Action] J’ai donc organisĂ© une sĂ©rie de 3 sĂ©ances de dĂ©monstrations avec nos serveurs 5G avec les dirigeants de REEF. [RĂ©sultats] C’est Ă  la suite de ces rĂ©unions que l’opĂ©rateur REEF Ă  adoptĂ© la technologie 5G de SERCOM. Avec ce contrat SERCOM est entrĂ©e dans la cours des grandes sociĂ©tĂ©s stratĂ©giques en Europe. Conclusion EntraĂźnez-vous Ă  rĂ©pondre jusqu’à ce que les mots sortent de votre bouche naturellement. Vous n’avez pas besoin d’ĂȘtre parfait, vous devez juste renvoyer une image de confiance en soi. Utilisez les commentaires ci-dessous pour partager des informations et poser des questions pour profiter de l’expĂ©rience des utilisateurs du site. 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Lavie est comme un boomerang : elle nous renvoie toujours ce qu’on lui donne. Il est totalement inutile de perdre son temps et son Ă©nergie dans la tristesse, le regret, et de ce fait de ne plus avancer. La vie est un perpĂ©tuel recommencement. Des personnes entrent dans notre vie et aussi en sortent. Ils viennent pour une raison et en
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